ETRELLES (35) 01.06.2014
Résumé
Observations dans le ciel nocturne d'une masse sombre, munie de deux lumières de petite taille. Déplacement soudain à une vitesse vertigineuse et disparition : cas inexpliqué d'un phénomène non identifié étrange.
Description
Les témoins, en voiture de service, observent rapidement dans le ciel une masse sombre, munie de deux lumières de petite taille, éclairant faiblement. La masse se déplace soudain à une vitesse vertigineuse et disparaît.
Une enquête de terrain a confirmé les rapports d'observation des témoins, et plusieurs hypothèses ont été envisagées (voir le compte rendu d'enquête), mais aucune ne correspond bien aux observations.
En conclusion, il s'agit d'un phénomène non identifié (PAN), observé par deux témoins de grande fiabilité, dans des conditions d'observation idéales et qui semble résister à toutes hypothèses, notamment à l'hypothèse explicative du passage d’un météore (bolide).
Toutefois, l'incertitude sur la trajectoire d'apparition du PAN, son caractère de grande brièveté, l'interdépendance des deux témoins qui ont aussitôt échangé sur leur observation interdisent un classement en D2, en l’absence de photographie ou vidéo.
Le GEIPAN classe ce cas D1 comme cas inexpliqué, de consistance élevée du fait des deux témoignages de grande qualité, et d’étrangeté moyenne (la matérialité de l’objet est possible mais pas certaine).
Une enquête de terrain a confirmé les rapports d'observation des témoins, et plusieurs hypothèses ont été envisagées (voir le compte rendu d'enquête), mais aucune ne correspond bien aux observations.
En conclusion, il s'agit d'un phénomène non identifié (PAN), observé par deux témoins de grande fiabilité, dans des conditions d'observation idéales et qui semble résister à toutes hypothèses, notamment à l'hypothèse explicative du passage d’un météore (bolide).
Toutefois, l'incertitude sur la trajectoire d'apparition du PAN, son caractère de grande brièveté, l'interdépendance des deux témoins qui ont aussitôt échangé sur leur observation interdisent un classement en D2, en l’absence de photographie ou vidéo.
Le GEIPAN classe ce cas D1 comme cas inexpliqué, de consistance élevée du fait des deux témoignages de grande qualité, et d’étrangeté moyenne (la matérialité de l’objet est possible mais pas certaine).