PARIS (75) 07.11.2022
Résumé
Observation d'une sphère bleue lors de la prise d'une photographie : observation d'un reflet parasite de la Lune dans l'objectif du smartphone utilisé.
Description
Le témoin rapporte en 2025 une observation faite en 2022.
Le 7 novembre 2022, aux alentours de 22h45, un témoin, à la fenêtre de la cuisine de son domicile à Paris (75), photographie la cour intérieure de son immeuble, éclairée par la pleine Lune, alors visible dans son champ de vision. Il prend une première photographie et remarque la présence d'une petite sphère bleue au-dessus des bâtiments de l'autre côté de la cour. Après avoir réalisé d'autres photographies, il confirme la présence de cette boule bleue sur ces dernières, a posteriori, sur son ordinateur.
De consistance* bonne, avec la présence de deux photographies ayant pu être analysées, bien qu'il n'y ait qu'un seul témoignage tardif, cette observation s'avère être celle d'un reflet parasite de la Lune dans l'objectif du smartphone utilisé par le témoin.
*selon les critères du GEIPAN, la consistance est la quantité d'informations considérées comme fiables et objectivées, recueillies pour un témoignage.
Cette hypothèse s'appuie sur les éléments suivants :
- Le logiciel d'analyse d'image du GEIPAN, IPACO a pu être utilisé et démontre sans ambiguïté sur les 2 photos qu'il s'agit d'un tel reflet, occasionné par la présence dans le champ des images de la pleine Lune, qui apparait surexposée (forte brillance).
Ce reflet est occasionné par la technologie interne du détecteur photographique qui conduit à le positionner à l'opposé d'une forte source lumineuse, selon un axe de symétrie centrale passant par le centre optique de l'objectif de l'appareil (voir annexe 1 et 2).
La méthodologie inhérente à l'analyse de cet artefact peut être consultée sur cette page concernant les reflets optiques.
- Forme ronde, comme celle de la Lune
- Couleur qui peut être bleue, verte ou rouge, typique de celle de la couche protectrice extérieure de la lentille externe de l'objectif.
Ce type de phénomène ne peut être visible que sur l'écran de contrôle de l'appareil, ou a posteriori, sur un ordinateur par exemple.
Le GEIPAN classe cette observation en "A" : artefact parasite de reflet d'objectif.
Le 7 novembre 2022, aux alentours de 22h45, un témoin, à la fenêtre de la cuisine de son domicile à Paris (75), photographie la cour intérieure de son immeuble, éclairée par la pleine Lune, alors visible dans son champ de vision. Il prend une première photographie et remarque la présence d'une petite sphère bleue au-dessus des bâtiments de l'autre côté de la cour. Après avoir réalisé d'autres photographies, il confirme la présence de cette boule bleue sur ces dernières, a posteriori, sur son ordinateur.
De consistance* bonne, avec la présence de deux photographies ayant pu être analysées, bien qu'il n'y ait qu'un seul témoignage tardif, cette observation s'avère être celle d'un reflet parasite de la Lune dans l'objectif du smartphone utilisé par le témoin.
*selon les critères du GEIPAN, la consistance est la quantité d'informations considérées comme fiables et objectivées, recueillies pour un témoignage.
Cette hypothèse s'appuie sur les éléments suivants :
- Le logiciel d'analyse d'image du GEIPAN, IPACO a pu être utilisé et démontre sans ambiguïté sur les 2 photos qu'il s'agit d'un tel reflet, occasionné par la présence dans le champ des images de la pleine Lune, qui apparait surexposée (forte brillance).
Ce reflet est occasionné par la technologie interne du détecteur photographique qui conduit à le positionner à l'opposé d'une forte source lumineuse, selon un axe de symétrie centrale passant par le centre optique de l'objectif de l'appareil (voir annexe 1 et 2).
La méthodologie inhérente à l'analyse de cet artefact peut être consultée sur cette page concernant les reflets optiques.
- Forme ronde, comme celle de la Lune
- Couleur qui peut être bleue, verte ou rouge, typique de celle de la couche protectrice extérieure de la lentille externe de l'objectif.
Ce type de phénomène ne peut être visible que sur l'écran de contrôle de l'appareil, ou a posteriori, sur un ordinateur par exemple.
Le GEIPAN classe cette observation en "A" : artefact parasite de reflet d'objectif.