THOUROTTE (60) 19.03.2022
Résumé
Observation d'une boule blanche dans le ciel qui se déplace, s'arrête à deux reprises et repart à grande vitesse : manque d'informations.
Description
Le 19 mars 2022 à 15h50, deux témoins sont intrigués par le passage, à très grande vitesse, d’une boule blanche dans le ciel. Celle-ci « s'arrête à deux reprises au dessus d'eux… pendant quelques secondes puis redémarre à grande vitesse.»
Aucun bruit n’est entendu. Aucun questionnaire ne sera recueilli malgré les relances du GEIPAN. Seul un Procès-verbal de Gendarmerie rapporte l’observation.
L’observation d’une boule blanche se déplaçant du nord-est au sud-ouest, soit dans le sens du vent, avec deux brefs arrêts au-dessus des témoins oriente vers l’hypothèse d’un objet porté par le vent.
Cependant, le manque d’éléments ne permet pas d’approfondir l’analyse de cette hypothèse (voir le compte rendu d'enquête).
La description faite dans le P.V. de gendarmerie est incomplète, ne permettant pas de traiter correctement ce cas : absence de données d’élévations de début et fin d’observation, pas de description précise de la trajectoire, absence d’estimations relatives à la taille apparente du PAN, aucune information sur la luminosité.
D'autant, qu'il semble qu’un seul des témoins ait été interrogé par la gendarmerie, de manière très succincte (quelques lignes descriptives) et uniquement par téléphone.
Malgré deux relances téléphonique effectuées par l’enquêteur les 05 juillet et 27 septembre 2022, aucun retour sur la demande de complément de témoignage n’a pu être obtenue.
Le cas est classé C par manque d’information.
L’observation d’une boule blanche se déplaçant du nord-est au sud-ouest, soit dans le sens du vent, avec deux brefs arrêts au-dessus des témoins oriente vers l’hypothèse d’un objet porté par le vent.
Cependant, le manque d’éléments ne permet pas d’approfondir l’analyse de cette hypothèse (voir le compte rendu d'enquête).
La description faite dans le P.V. de gendarmerie est incomplète, ne permettant pas de traiter correctement ce cas : absence de données d’élévations de début et fin d’observation, pas de description précise de la trajectoire, absence d’estimations relatives à la taille apparente du PAN, aucune information sur la luminosité.
D'autant, qu'il semble qu’un seul des témoins ait été interrogé par la gendarmerie, de manière très succincte (quelques lignes descriptives) et uniquement par téléphone.
Malgré deux relances téléphonique effectuées par l’enquêteur les 05 juillet et 27 septembre 2022, aucun retour sur la demande de complément de témoignage n’a pu être obtenue.
Le cas est classé C par manque d’information.