GENELARD (71) 06.01.2017
Résumé
Multiples observations du déplacement de phénomènes de couleur dans la nuit : manque d'informations fiables.
Description
Un témoin rapporte des observations successives les 6 et 7 janvier puis les 25 et 26 février 2017 : il observe des phénomènes de couleur en déplacement dans le ciel ou près du sol. Les observations sont longues (de 20h30 jusqu'au lever du jour). Les gendarmes sur place ne constatent rien. Un seul témoignage est recueilli (par le questionnaire et des appels téléphoniques).
Le témoignage fait état d'une grande étrangeté :
Les observations ont lieu presque toutes les nuits (avec présence de nuages ou non) au ras du sol (voire au sol) comme dans le ciel, devant comme derrière les arbres. Des lueurs principalement, mais il peut aussi y avoir comme un engin. On note aussi des bruits dans le ciel, des grincements d'arbres. Les photos à l'ordinateur peuvent aussi bouger ou révéler le nom du témoin dans les arbres.
L'étrangeté rapportée est telle que le GEIPAN souhaite avoir le témoignage des autres témoins présents sur les lieux. Mais l'épouse ne veut pas témoigner. Les amis du témoin promettent de le faire mais ne le font pas, que ce soit celui que le GEIPAN a pu joindre au téléphone en présence du témoin initial, ou un autre joint séparément. Ces deux amis décrivent au téléphone des éléments d’étrangeté significatifs qui, tout en étant de nature similaire (lueurs dans le ciel et au sol), ne se recouvrent que partiellement entre témoins. Les gendarmes présents un soir ne remarquent rien, mais le témoin considère que le phénomène était moins fort ce soir-là (mais était tout de même présent).
Le refus de témoigner de trois témoins diminue fortement la consistance de ce témoignage. Cette dernière est trop faible pour valider le caractère étrange de l'observation d'un témoin unique.
En conséquence, le témoignage est classé inexploitable en C : manque d'informations fiables.
Le fait que la part d'observation faite par les gendarmes soit en désaccord avec la perception du témoin principal ne fait qu’accentuer le manque déjà établi de consistance.
Le témoignage fait état d'une grande étrangeté :
Les observations ont lieu presque toutes les nuits (avec présence de nuages ou non) au ras du sol (voire au sol) comme dans le ciel, devant comme derrière les arbres. Des lueurs principalement, mais il peut aussi y avoir comme un engin. On note aussi des bruits dans le ciel, des grincements d'arbres. Les photos à l'ordinateur peuvent aussi bouger ou révéler le nom du témoin dans les arbres.
L'étrangeté rapportée est telle que le GEIPAN souhaite avoir le témoignage des autres témoins présents sur les lieux. Mais l'épouse ne veut pas témoigner. Les amis du témoin promettent de le faire mais ne le font pas, que ce soit celui que le GEIPAN a pu joindre au téléphone en présence du témoin initial, ou un autre joint séparément. Ces deux amis décrivent au téléphone des éléments d’étrangeté significatifs qui, tout en étant de nature similaire (lueurs dans le ciel et au sol), ne se recouvrent que partiellement entre témoins. Les gendarmes présents un soir ne remarquent rien, mais le témoin considère que le phénomène était moins fort ce soir-là (mais était tout de même présent).
Le refus de témoigner de trois témoins diminue fortement la consistance de ce témoignage. Cette dernière est trop faible pour valider le caractère étrange de l'observation d'un témoin unique.
En conséquence, le témoignage est classé inexploitable en C : manque d'informations fiables.
Le fait que la part d'observation faite par les gendarmes soit en désaccord avec la perception du témoin principal ne fait qu’accentuer le manque déjà établi de consistance.