PERPIGNAN (66) 15.01.1981
Résumé
Observation du déplacement conjoint de trois points lumineux dans le ciel nocturne : observation de satellites.
Description
En mars 2012 le GEIPAN reçoit un questionnaire rapportant une observation faite le 15 janvier 1981 à 5h50 à Perpignan. Ce matin là juste avant de prendre son travail, un témoin est intrigué par le passage Sud-Nord, dans le ciel dégagé, de trois points lumineux strictement alignés à équidistance les uns des autres. L'observation dure 3 minutes avant que les points ne disparaissent du champ de vision du témoin. Un seul témoignage est recueilli.
Il s'agit d'un témoignage postérieur de 35 ans à l'observation. Le cas représente peu d'étrangeté. L'heure, la durée, la trajectoire sont compatibles avec des satellites. Ce qui étonne le témoin résulte d'un effet groupe de satellites, qui peut résulter soit d'un essaim de satellites rapprochés et collaboratifs, soit de satellites totalement distincts évoluant sur des plans d'orbite parallèles. La deuxième hypothèse est la plus probable car les essaims n’existaient pas en 1981 (sauf peut être sur des programmes confidentiels US). Cette hypothèse suppose en principe un écart angulaire entre objets plus important que dans le cas de l'essaim, mais ceci est difficile à clarifier vu l'ancienneté du témoignage.
En conséquence le GEIPAN classe le cas en B : satellites.
Il s'agit d'un témoignage postérieur de 35 ans à l'observation. Le cas représente peu d'étrangeté. L'heure, la durée, la trajectoire sont compatibles avec des satellites. Ce qui étonne le témoin résulte d'un effet groupe de satellites, qui peut résulter soit d'un essaim de satellites rapprochés et collaboratifs, soit de satellites totalement distincts évoluant sur des plans d'orbite parallèles. La deuxième hypothèse est la plus probable car les essaims n’existaient pas en 1981 (sauf peut être sur des programmes confidentiels US). Cette hypothèse suppose en principe un écart angulaire entre objets plus important que dans le cas de l'essaim, mais ceci est difficile à clarifier vu l'ancienneté du témoignage.
En conséquence le GEIPAN classe le cas en B : satellites.