TOULOUSE (31) 24.08.2011
Summary
Courte observation nocturne du déplacement silencieux d'une forme triangulaire noire avec des rectangles oranges : manque d'information.
Description
Dans ses publications sur le site du GEIPAN, figurent des cas anciens classés à l'époque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un réexamen, dans le seul but d'être plus pertinent dans les conclusions. Grâce à de nouveaux moyens techniques (logiciels) et à l'expérience d'enquête acquise depuis toutes ces dernières années, ce réexamen aboutit quelquefois à de nouvelles remarques voire à un changement de classification.
Ce cas d'observation précédemment classé D1 et nommé TOULOUSE (31) 24.08.2011 fait partie d'un ensemble de cas réexaminés récemment (voir le compte rendu d'enquête).
Le mercredi 24 août 2011 aux environs de 3h32 un témoin regarde les étoiles derrière une vitre. Il observe soudain le passage silencieux vers le sud de Toulouse d'une forme triangulaire sombre. Le témoin est étonné par l'éclairage sous le PAN, constitué de "plusieurs rectangles lumineux orangés formant des rampes tout autour de l'appareil". La durée d'observation est de 5 secondes d'après le témoin et le phénomène est rapidement caché par le paysage urbain. Aucun autre témoignage ne sera recueilli.
L’observation n’admet pas d’hypothèse suffisamment probable.
La forme et la trajectoire du PAN pourraient correspondre à un avion militaire ou d’affaire, mais les lumières ne correspondent pas à une configuration connue, l’absence de trace radar peut difficilement s’expliquer par une très basse altitude car le témoin aurait alors dû percevoir un bruit, même derrière des vitres.
La nouvelle enquête n’a rien apporté en terme d’hypothèse puisque le témoin a refusé la demande de contact de l’enquêteur.
La consistance initiale du cas était à peine suffisante pour supporter le niveau d’étrangeté et le caractère inexpliqué du cas :
- information moyenne reposant essentiellement sur le croquis, pas de photo, un seul témoin ;
- fiabilité correcte (en dépit du fait que le témoin n’avait pas donné suite à la demande initiale de faire une déposition en Gendarmerie).
Le refus du témoin, en connaissance de cause, de répondre aux sollicitations du GEIPAN sur un cas d’observation dont il connaît le caractère inexpliqué, peut certes avoir des causes légitimes mais, en l'absence de précisions, c’est un élément qui altère la perception de fiabilité.
La consistance ne permet plus de supporter le niveau d’étrangeté et le caractère inexpliqué du cas.
Le GEIPAN classe le cas en C : inexploitable par manque d’informations fiables.
Ce cas d'observation précédemment classé D1 et nommé TOULOUSE (31) 24.08.2011 fait partie d'un ensemble de cas réexaminés récemment (voir le compte rendu d'enquête).
Le mercredi 24 août 2011 aux environs de 3h32 un témoin regarde les étoiles derrière une vitre. Il observe soudain le passage silencieux vers le sud de Toulouse d'une forme triangulaire sombre. Le témoin est étonné par l'éclairage sous le PAN, constitué de "plusieurs rectangles lumineux orangés formant des rampes tout autour de l'appareil". La durée d'observation est de 5 secondes d'après le témoin et le phénomène est rapidement caché par le paysage urbain. Aucun autre témoignage ne sera recueilli.
L’observation n’admet pas d’hypothèse suffisamment probable.
La forme et la trajectoire du PAN pourraient correspondre à un avion militaire ou d’affaire, mais les lumières ne correspondent pas à une configuration connue, l’absence de trace radar peut difficilement s’expliquer par une très basse altitude car le témoin aurait alors dû percevoir un bruit, même derrière des vitres.
La nouvelle enquête n’a rien apporté en terme d’hypothèse puisque le témoin a refusé la demande de contact de l’enquêteur.
La consistance initiale du cas était à peine suffisante pour supporter le niveau d’étrangeté et le caractère inexpliqué du cas :
- information moyenne reposant essentiellement sur le croquis, pas de photo, un seul témoin ;
- fiabilité correcte (en dépit du fait que le témoin n’avait pas donné suite à la demande initiale de faire une déposition en Gendarmerie).
Le refus du témoin, en connaissance de cause, de répondre aux sollicitations du GEIPAN sur un cas d’observation dont il connaît le caractère inexpliqué, peut certes avoir des causes légitimes mais, en l'absence de précisions, c’est un élément qui altère la perception de fiabilité.
La consistance ne permet plus de supporter le niveau d’étrangeté et le caractère inexpliqué du cas.
Le GEIPAN classe le cas en C : inexploitable par manque d’informations fiables.