AMBERNAC (16) 31.10.1983 « PEUPLIER»
Summary
Observation d'une sphére lumineuse et trace d'un peuplier cassé sur le sol : probable phénomène naturel dû à des parasites et chute d'un arbre.
Description
Le 31 octobre 1983 vers 18h 45 un témoin alerté par les aboiements inhabituels de son chien, aperçoit par la fénêtre dans un brouillard épais et malgré la nuit une lumière intense "grande comme une roue de tracteur" qui évolue lentement et disparaît très rapidement derrière un rideau de peupliers situés au bord de la rivère.
Le lendemain matin sur les indications de direction du témoin, un peuplier de 25 mètres de haut est retrouvé cassé à une hauteur de 8 mètres : la partie supèrieure est retrouvée au sol parmi la végétation sauvage et la cassure se présente de deux façons distinctes. L'arbre présente une première cassure franche jusqu'au centre du tronc suivie d'une déchirure du bois sur deux mètres environ.
Le résultat des analyses montre que l'arbre était probablement attaqué de longue date par des champignons qui l'ont progressivement dégradé sans que l'aspect extérieur de l'arbre soit modifié. Lorsque la dégradation a atteint le milieu de l'arbre, l'équilibre de celui-ci a été compromis et l'arbre a pu tomber sous l'effet d'une pression minime. Ce phénomène a été renforcé par l'effet des vents dominants qui ont provoqué un effet de fatigue en général du végétal situé etre 4 et 5 mètres de hauteur, facilitant ainsi l'apparition de champignons destructeurs. La zone brunâtre et la couche d'écorce cicatricielle trouvée au niveau de la rupture sont cohérentes avec cette hypothèse.
Concernant la lumière vive, un des laboratoire consulté propose une explication. Il existe en effet dans la nature de nombreuses espèces d'organismes luminescents et parmi eux de nombreux champignons. Ces organismes peuvent émettre des lumières intenses permettant d'éclairer une pièces ou de se diriger dans le noir. L'hypothèse avancée est que le tronc de l'arbre, colonisé par ce type d'organismes ait pu au moment de sa rupture mettre au jour ces organismes qui ont provoqué une lueur importante pendant un certain temps, lueur qu'à pu apercevoir le témoin sans pouvoir l'interpréter.
Le lendemain matin sur les indications de direction du témoin, un peuplier de 25 mètres de haut est retrouvé cassé à une hauteur de 8 mètres : la partie supèrieure est retrouvée au sol parmi la végétation sauvage et la cassure se présente de deux façons distinctes. L'arbre présente une première cassure franche jusqu'au centre du tronc suivie d'une déchirure du bois sur deux mètres environ.
Le résultat des analyses montre que l'arbre était probablement attaqué de longue date par des champignons qui l'ont progressivement dégradé sans que l'aspect extérieur de l'arbre soit modifié. Lorsque la dégradation a atteint le milieu de l'arbre, l'équilibre de celui-ci a été compromis et l'arbre a pu tomber sous l'effet d'une pression minime. Ce phénomène a été renforcé par l'effet des vents dominants qui ont provoqué un effet de fatigue en général du végétal situé etre 4 et 5 mètres de hauteur, facilitant ainsi l'apparition de champignons destructeurs. La zone brunâtre et la couche d'écorce cicatricielle trouvée au niveau de la rupture sont cohérentes avec cette hypothèse.
Concernant la lumière vive, un des laboratoire consulté propose une explication. Il existe en effet dans la nature de nombreuses espèces d'organismes luminescents et parmi eux de nombreux champignons. Ces organismes peuvent émettre des lumières intenses permettant d'éclairer une pièces ou de se diriger dans le noir. L'hypothèse avancée est que le tronc de l'arbre, colonisé par ce type d'organismes ait pu au moment de sa rupture mettre au jour ces organismes qui ont provoqué une lueur importante pendant un certain temps, lueur qu'à pu apercevoir le témoin sans pouvoir l'interpréter.